Les rues...

Finalement arriver devant l'imposante porte de la Capital des Termites qui n'a connu aucune défaite depuis la Période des Bousiers, Arkus se tenait devant pour l'observer. Haut de 20 mètres (format termite), la Porte donnait une impression de Grandeur et de Pouvoir. Il vu aussi les gerdes qui le regardait. L'un deux le héla.

"Héla, passant! Rentre-tu ou tu reste dehors?"

L'autre garde rit. Arkus eu comme une mauvaise bouffée de chaleur. Il riposta:

"Euh... Je veux entrez..."

*Génial, comme réplique!* se dit-il amèrement.

Les gardes lui fit signe que oui. Grâce à ses quatres bras et ses deux jambes longue qui caractérise la plupart des Termites. Alors, les gardes ne l'arrêterent pas. Ainsi, il rentra sans difficulter.

La ville est énorme! Il y a des gens riche comme des pauvres, des snobs et des soumis, des quêteurs et des donneurs, des marchands et des conssomateurs, des forgerons et des armurerier de toute sorte! Et, ce qui fesait la fièrter des Termites et qui fesait rêver les jeunes, les fameux gardes du corps Impérials de La Reine Elle même! Tous, gardes et garde-du-corp, marchait ça et là, revenant du travail ou en y allant, nouveau et congédié, flânant dans les bars ou discutant avec les forgerons ou armurerier de la hausse du prix du fer. Et les voyageurs qui entraient et sortaient de la ville, comme Arkus.

Il trouva un acheteur de fourrure et de truc qui vient des animaux. Il vendit ses trucs au gars qui lui donna quelques Crottes de Lapins. Avec ça, il alla se commander un repas avec bière bien moussante.

*Ahhh! Ça fait du bien...*

[quelques cors résonnent aux loin de l'artère principale]
[quelques chuchotements apparaissent dans la foule environnante]
- il parait que c'est le nouveau général
- ah ouais fichtre diantre il se put qu'il puisse se pavaner en dandinant dans nos rues si copieusement irriguées de convives aussi assoiffées que nous dans uen guinguette pareille?

- mais non, il ne vient pas nous snober, si c'est ce que tu veux dire! il vient se présenter et se faire connaître des gens, mêm des ouvriers dis donc!

- certes. Je conçois fort bien.

[les pas en cadence du premier régiment se montrent plus presents
et bientôt la foule se tasse sur les côtés des marchandises pour laissre le cortège filer vers la grand place.
Enfin tant attendu le général Ikrit se hisse sur un piedestal improvisé de 10 soldats en parfait équilibre]

- ouvriers, ouvriers [pas de sexués chez le "peuple" science et vie]
- comme vous avez pu l'entendre je suis nouveau général en mission à la tour de sable dont j'espère bien continuer à faire reluire le blason d'un éclat proche de celui du soleil
- pour faire grandir le prestige la meute

[applaudissement d'allégresse]

- aussi je ferai mon possible pour protéger des infâmes bousiers et des vaniteux tétards et des perfides limaces aussi baveuses que la poisse.

(gmrmlrml transformation?)

- Néanmoins!
- ... mon humble personne souhaite avant toute action de la diplomatie, et parler surtot de leur culture pour que nous puissons nous enrichir intelleectuellement et penser

[yeux hagards, pâquerette dans la bouche]
[la foule commence murmurer]

* mais tu vas t'en aller oui?? c'est quoi tes histoires à l'eau de rose *
* c'est la culture voyons de l'individualisem pour éviter que tous foncent dans telle voie sans y réflechir avant tel les "gros-animaux-à-laine-blanche" *
* balivernes allez va t en ALLEEEEZ! *
* vraiment pas courtois mais ça va changer tout ça.. mon 'gué'-'ne'-'raleuh' *

- CASSSSSSSSSE TOI!

[stupeur et tremblements des termites assemblées, les euh 'yeux' rivés sur lui]

* faut je fasse quelque chose sinon on va me couper les antennes *

- euh bon qu'est ce que je disais moi?
- mes biens chers ouvriers si je suis ici, c'est bien pour engager nombre d'entre vous!

[ooooooooh]

- oui car si mes prédecesseurs ne l'ont pas fait, moi oui. je sais que vous êtes capables de prouesse je dirai plus subtiles que nos chers soldats
- c'est pourquoi j'ai décidé dengager quelques uns d'entre vous dans une unité spéciale pour la Meute!

[applaudissements généreux et oooooooola! dans le public]

- we need you for the gode safe of the united termites states !!
[drapeaux flottants sur un ciel couchant, la patte sur le coeur nerveux 6]

dèsl lors des douzaine d'ouvriers se précipitèrent vers l'officier en charge des recutements...

- à la grandeur que ceci représente j'ajoute un salaire plus important ainsi que _ pour certains _ une revalorisation de leur antennes _ pour cacher quelques terribels secrets mouaaahhahah..

[Désoler, double post... ]

Alors, le Termite parla et parla... Exaspérer, il paya l'addition et poussa sa chaise pour se diriger vers un autre endroit, n'importe quel autre lieux qu'ici... Il n'aimait pas ce Termite, vraiment pas. Il jouait des coudes avec le monde qui était présents en lancant des "Pardons", "S'cuser" à ceux qui y lancait des insultes et qui disait des jurons comme si ils respiraient.

A la fin de son discours le général put admirer la conscience collective en pleine exergue, à son paroxysme rien que pour la meute tous les termites criant "victoire à la meute", il était très facile de pouvoir motiver un grand ensemble non pas de personnes stupides mais la théorie des masses a son effet.

Exultant, Ikrit leva sa patte droite et fit le signe VT victoire termite.
Puis malgré toute cette agitation il remarqua un termite vêtu autrement que l'uniforme se faufiler tant bien que mal fuyant complètement à contre courant cette masse dirigée par une seule te même pensée.

* oh celui là m'intéresse, désolé mon général je reprend la main *

(grùmremlr)[ikrit parut trembler et se contortionner étrangement l'espace d'un instant]

Ikrit descendit de la pyramide intacte, puis suggéra des instructions à son second pour prendre la suite. Ce dernier ne comprit pas tout de suite, le timbre de voix n'éatnt aps le même, mais s'exécuta de bonne oeuvre.

- écoutez mon second pour la suite des evénements mes amis, il vous dira absolument tous les détails. Vive la meute!

Tout en sautant lestement, le bain de foule s'écarta pour laisser passer le termite gradé vers l'avenue où l' individu avait pu partir. Alors que tous les autres termites ouvriers et marchands s'amoncellaient pour écouter le second, Ikrit disparut dans un rue plus sombre et plus glauque.

* où as-t-il pu aller ce bougre? *

Alors que ses 4 pattes le propulsait vigoureusement, il put s'apercevoir de l'éta un peu délabré de ce recoin un peu abandonné, un quartier comme il n'en avait jamais vu encore! Un quartier délaissé et non pas remis à neuf comme font d'habitude les congénères de sa race. Quelques pucerons sauvages trainaient de ci de là, fouillant parmi les détritus et autres maisons en ruine.

* Hum il y a quelque chose de bizarre ici, il faudra que j'y jette un coup d'oeil attentif *

Il ressentait une espèce d'oppression dans cet univers délabré, mais recentrait son attention sur sa cible.

* bon sang il va vite le pti gars *

Et les artères devinrent de simples vaisseaux étroits, plus humides qu'il ne faudrait et des odeurs malsaines vinrent titiller ses antennes n'augurant rien de bon. Le boyau dans lequel il s'était engagé ne laissait plus passer qu'un seul termite, et Ikrit redoubla de vigilance, les sens en exergue, la patte sur ses dards de guêpes... Et commença à masquer ses phéromone de présence, une ruse apprise de ses cousins fourmis.
Le chemin marquait un coude, Ikrit s'arrêta flairant des phéromones inconnus.

[après avoir attendu de longues minutes (dsl du retard masi des evenments externes font que l'esprit est ailleurs) à sentir le moindre soupçon de phéromone explicite, il finit par se redresser, tendu, puis rangea son arme]

* essayons d'être diplomate *

- hum bonjour noble termite étranger, je viens en ami et j'ai rangé mon arme et tout intention hostile que me procure cet endroit.

- je sais qu evous n'êtes pas d'ici et je ne sais pas si l'ambiance vous plaira
mais j'aimerai faire ample connaissance.

- j'insiste je suis venu en simple termite et non pas en Ikrit le général disons borné sur la meute

- voyez vous je suis un peu excentrique j'aime penser par moi même et votre réaction tout à lheure m'a un peu rassuré dans le sens où.. je n'étais peut être pas tout seul. Je me dis philosophe et surtout anti belliqueux.

- je ne vous obligé à rien, vous n'ête saps obligé de me croire masi je suis sincère je souhaite discuter avec vous!

* arretes donc voyons c un naze *
* est ce que je t'ai sonné le génral? non bon alors. *

- effectivement je suis d'accord avec toi ces généraux sont tous les mêmes même celui avec qui je "coopère" Mais je me permets de fair el forcing, vois tu un général si diplomate soit il ne renierait pas ses principes de guerre,
de même que l'esprit de la "meute"

- vous avez dû sentir j'espère cet esprit de la pensée unique
mais je suis absolument contre.

- mais je suis comment dirait on avec une "double" personnalité,
l'une ayant conscience de l'autre, mais selon que je suis en ville ou ailleurs, l'un ou l'aure prend le dessus.
Cette théorie est un peu rocambolesque, mais je suis auteur de quelques livres en feuille de vignes et j'ai pu en discuter avec quelques collègues philosophes ou j'explique ce double aspect et la coopération que cela entraine. j'y exprime aussi les conflist que cela entraine ainsi que des convulsions du corps...
je vous le conseille, à 50 crottes l'ouvrage, chez fion.

[ikrit arreta son discours, ayant fait les 100 pas et une démonstration commerciale bien peu orthodoxe]

* je me suis un peu éloigné je pense *

- pardon je me suis écarté du sujet c'est à dire vous! Vous êtes originaire d'une province de l'ouest? des territoires dissidents résistants l'emprise des Etats Unis des Termites?
- si je peux commencer je m'appelle Ikrit donc général officiel des Termites de la Tour de Sable, et officieusement, philosophe adjoint au conseil secret pour la pensée individuelle, le CSPPIT.

Déboussoler, il ne répondit pas tout de suite. Il fut momentanément surpris qu'une de ces saletés de général lui parle. Pourquoi lui? Il n'est pas super beau, ni super fort, encore moins heureux de l'armée... Enfin bref, il repris ses esprits et se présenta, avec le même ton sec.

-Bon, pour l'offre, non merci, je me débrouille. Et bien, je me nomme Arkus, Errant. Je suis originaire d'un Village perdu... je ne me rappelle plus de son nom... Et j'ai été banni... J'en porte même la trace... (Il a dit ça avec dédain.) Mais dite moi, pourquoi vous vous interressez tant que ça à moi?

Il s'immobilisa dans l'ombre, soudain sur ses gardes et prèts à sauter, tels un ressorts tendus.

[ikrit réfléchit un peu et songea qu'il n'était pas encore prêt, pas la peine de forcer la main non plus]

- bon je te sens sceptique c tout à fait compréhensible. ce n'est pas pour t'exploiter de la sorte pas pour rentrer dans l'armée, mais plus pour d'autres enjeux plus profonds et au regard de ton allure et juste le fait d'avoir quitter ton village, quelque chose me dit que tu pourras apporter beaucoup à notre communauté. Tu semblme penser par toi même! chose rare ici!!
Cette intuition est difficile à faire valoir j'en suis conscient.

- si tu es décidé rejoins moi dans le lotissement 526B, quartir du 25ème général de l'époque primaire, et passe devant le Consortium Philosophique CapilloTracté, j'y serai pendant la soirée.

- tu as libre choix, et ton libre arbitre pour décider. Je te laisse donc.

[Ikrit se désengagea du tunnel étroit puis repartit à allure modérée vers la sortie, en évitant les pucerons sauvages agressifs.]

* je ne sais pas, je n'ai aps été assez convaincant, mais ça ne sert à rien de forcer la main non plus *
* bon allez général tu vas pouvoir reprendre ta place *

-Hum...

C'est la dernière chose que Ikrit entendit d'Arkus. Bien sûr, il pensait librement, très rare. Mais c'est depuis ce jour... CE jour où la pierre lui blessa la jambe... Il regarda le Général partir en douceur des ruelles.

*Propositions interréssante... Il a vraiment l'air bizarre... Deux personnalités dans ce même corps... Donc, ce soir, devant le "Consortium Philosophique CapilloTracté"... J'y serai."

Il monta prudament les planches pour atteindre les toits.

"Sans dout mon nouveau domaine... Si je reste ici..."

Il parti en courant sur les toits à la recherche d'une bâtisse dans laquelle il pourra descendre.

[Direction --> ICI]